BiographieVladimir Cosma est né en 1940 à Bucarest. De formation classique, il suit les cours de Nadia Boulanger, et commence une carrière de violoniste soliste. La rencontre avec le cinéaste Yves Robert est déterminante : celui-ci lui propose en 1967 d'écrire la musique de son film Alexandre le bienheureux. C'est le début d'une complicité qui durera jusqu'à la mort d'Yves Robert en 2002.
Vladimir Cosma travaille pour de nombreux réalisateurs de cinéma dont il est souvent devenu le compositeur d'élection. Depuis la fin des années soixante, il a ainsi travaillé pour Yves Robert (13 fois), Pierre Richard (5 fois), Pascal Thomas (11 fois), Claude Zidi (10 fois), Gérard Oury (5 fois), Édouard Molinaro (6 fois), Claude Pinoteau (7 fois) et Francis Veber (7 fois). Très vite, son nom s'est donc trouvé associé aux plus grands succès de la comédie française des années soixante-dix et quatre-vingt, avec comme coup d'éclat en 1972 la partition du Grand Blond avec une chaussure noire (film qui fut d'ailleurs couronné par un Ours d'Argent au festival de Berlin !). Les Aventures de Rabbi Jacob (1975), Le Père Noël est une ordure (1982) ou encore La Chèvre (1981), des classiques du genre, maintes fois diffusés et rediffusés par la télévision, sont sans doute les plus connus des nombreux films à succès pour lesquels il a écrit.
Parallèlement, Vladimir Cosma a écrit un très grand nombre de partitions pour la télévision, la plus célèbre étant probablement celle du feuilleton Michel Strogoff (1975). Pour qui ne connaît que ses musiques de comédie, c'est un pan de son uvre qui mérite d'être découvert car ce goût bien français des étiquettes l'a trop vite classé comme un spécialiste du cinéma comique alors que son talent s'exprime également dans des sujets plus dramatiques. Sa collaboration avec Yves Boisset (pour le grand et le petit écran) en donne un aperçu étonnant. Mais à la télévision, de nouveau, il s'est finalement trouvé catalogué, cette fois comme compositeur pour sujets mélodramatiques comme L'Amour en héritage, Les Curs Brûlés ou encore la Trilogie marseillaise de Marcel Pagnol.
En 1980, l'énorme succès de La Boum propulse Vladimir Cosma au sommet des hit-parades grâce à la chanson Reality. C'est l'autre versant du succès de Vladimir Cosma : le succès discographique.
En France, l'industrie cinématographique n'a pas pour habitude de prendre en compte, dans le budget alloué à un film, le coût d'enregistrement de la musique. L'argent est avancé par un « éditeur » musical, dont le seul moyen de rentrer dans ses frais est de publier un disque d'extraits de la musique du film ; mais les albums de musique instrumentale ne se vendent jamais aussi bien qu'une chanson Susceptible de sortir sous la forme d'un single (autrefois, d'un 45 tours), mais aussi d'être diffusée à la radio, une chanson est le meilleur moyen de faire un peu d'argent, et même, en retour, d'assurer la promotion du film ! Vladimir Cosma, comme beaucoup d'autres compositeurs, s'est plié à ce système et a produit, principalement dans les années quatre-vingt, une pléthore de chansons destinées à jouer le rôle de locomotive dans la promotion des films ou séries télévisées dont il écrivait la musique. J'irai même jusqu'à dire que, après La Boum, il s'est à un certain moment trouvé prisonnier de son savoir-faire. Aujourd'hui, la discographie disponible propose surtout des compilations de chansons ou thèmes à succès qui ne rendent pas justice à son talent.
Car le langage musical développé par Vladimir Cosma ne se limite pas à la mélodie. Certes, toute son uvre repose sur un principe simple : à chaque film, un thème principal, souvent un ou deux thèmes secondaires, et une partition constituée de pièces courtes (deux ou trois minutes) qui sont autant de variations sur ces thèmes, variations généralement guidées par un sentiment ou d'un état d'esprit particulier (gaîté, rêverie, mélancolie, inquiétude ). Mais quand on creuse un peu dans son uvre, on découvre à la fois que ce système a évidemment ses limites (d'une part, quand on compose plusieurs centaines de mélodies, certaines finissent par se ressembler ; d'autre part, les procédés destinés à évoquer le même sentiment à partir de mélodies différentes concourent à produire des morceaux étrangement jumeaux), et que le talent de Vladimir Cosma est justement dans tout ce qui dépasse ce système. Car son savoir-faire dans les domaines de l'orchestration et de l'harmonisation, précisément, le conduit parfois à écrire des pièces plus denses, qui s'éloignent des arias mélodiques qui ont fait son succès auprès du public. On trouve alors des réminiscences de Bartók, des ostinatos angoissés proches des chef-d'uvres hitchcockiens de Bernard Herrmann, ou encore des pièces plus longues qui, oubliant les formats habituels, lui permettent d'aller au bout de son grand talent. C'est, à mon avis, l'immense supériorité, par exemple de la « Bacchanale » du film Le Prix du danger, du « Concerto de Berlin » du film La Septième Cible ou du « Dernier Homme » dans Les Rois du gag sur les chansons de La Boum et même les thèmes du Grand Blond avec une chaussure noire ou La Chèvre, si délicieux soient-ils.
Les Mondes Engloutis
La musique des Mondes Engloutis est constituée d'une centaine de morceaux de deux ou trois minutes, dont certains apparaissent de manière régulière pour créer l'atmosphère voulue et d'autres ne sont utilisés qu'une seule et unique fois. Mais la totalité de cette musique n'a pas été écrite exclusivement pour la série. En fait, Vladimir Cosma a composé trois chansons, ainsi qu'une dizaine de pièces orchestrales qui sont toutes des variations sur le thème principal. Les autres morceaux qui apparaissent dans la série sont tout simplement des pièces extraites de ses uvres antérieures. On peut donc, en écoutant les disques de ses autres musiques pour le cinéma et la télévision, retrouver des morceaux entendus dans Les Mondes Engloutis.
Ce procédé n'est d'ailleurs pas réservé aux seuls Mondes Engloutis. Ainsi, dans Un éléphant ça trompe énormément d'Yves Robert, on peut entendre furtivement la valse de Michel Strogoff (dans la séquence où Claude Brasseur, se faisant passer pour un aveugle, dévaste un bistrot). De même, dans La Boum, la musique qui accompagne le film que va voir Vic au cinéma est tirée du Prix du danger ; et dans Astérix et la surprise de César, on entend une pièce provenant du film La Course à l'échalote (qui apparaît d'ailleurs aussi dans Les Mondes Engloutis). Les auditeurs avertis pourront également, dans le film Ils sont grands ces petits, reconnaître la mélodie que le compositeur a réutilisée pour écrire la chanson du dessin animé Biniky le dragon rose.
Plus étrangement, on trouve dans Les Mondes Engloutis des musiques qui semblent bien être des extraits d'uvres postérieures sans doute s'agit-il de morceaux écrit pour d'autres films et finalement pas utilisés à l'époque ? En tout cas, c'est sur les disques de la bande originale de Cache-cash (1994), Les Curs brûlés (1992) ou encore L'Étudiante (1988) qu'on trouve pour la première fois des pièces qui apparaissaient déjà dans la bande-son de notre série animée en 1985 ou 1986
Depuis plusieurs années, je travaille à l'élaboration d'un répertoire complet des musiques apparaissant dans Les Mondes Engloutis. Je vous livre les premiers résultats de cette recherche dans le menu la série.
Filmographie
Voici une liste chronologique de 176 uvres de Vladimir Cosma. Ma source principale est la filmographie contenue dans le livre Les Musiques du cinéma français qui comporte 138 titres (mais s'arrête en 1992), que j'ai croisée avec les 153 titres cités par le dictionnaire 1 000 compositeurs de cinéma (qui va jusqu'en 2000). J'ai complété et corrigé ces listes en utilisant les informations données par le livret des disques en ma possession, les dictionnaires Larousse consacrés au cinéma, et le site Internet Movie Database (IMDb). Ce dernier cite 186 titres, mais compte tenu du caractère parfois fantaisiste des renseignements donnés par ce site, surtout en ce qui concerne le cinéma français, je n'ai pas inclus ici les informations que je n'ai pas encore pu recouper.
J'ai fait précéder d'une étoile le titre des films dont la bande sonore contient un ou plusieurs morceaux que l'on peut entendre dans Les Mondes Engloutis. Dans dans le menu la série, je vous donne le détail des 44 morceaux que j'ai pu ainsi retrouver.
À ce jour, je possède plus de 40 disques, CD et cassettes des uvres de Vladimir Cosma, ce qui m'a permis de réunir plus de deux heures de musiques des Mondes Engloutis. Mais ma quête est loin d'être terminée. Si vous possédez des disques que vous êtes prêt à céder, écrivez-moi : shagmir@free.fr
date | titre | réalisateur | ||
1966 | But | Dominique Delouche | court métrage | |
1967 | Alexandre le bienheureux | Yves Robert | ||
1968 | Les Prisonniers de la liberté | Yona Zaretsky | ||
Maldonne | Sergio Gobbi | |||
1969 | Clérambard | Yves Robert | ||
Le Miroir de la terre | Edmond Séchan | court métrage | ||
* | Les Aventures de Tom Sawyer | Wolfgang Liebeneiner | série TV | |
1970 | Le Distrait | Pierre Richard | ||
Teresa | Gérard Vergez | |||
1971 | Tang | André Michel | série TV | |
1972 | Le Grand Blond avec une chaussure noire | Yves Robert | ||
Les Zozos | Pascal Thomas | |||
Les Malheurs d'Alfred | Pierre Richard | |||
1973 | L'Affaire Crazy Capo | Patrick Jamain | ||
Pleure pas la bouche pleine | Pascal Thomas | |||
La Dernière Bourrée à Paris | Raoul André | |||
Les Aventures de Rabbi Jacob | Gérard Oury | |||
Les grands sentiments font les bons gueuletons | Michel Berny | |||
Salut l'artiste | Yves Robert | |||
La raison du plus fou est toujours la meilleure | François Reichenbach | |||
1974 | La Main enchantée | Michel Subiela | téléfilm | |
La Rivale | Sergio Gobbi | |||
Le Chaud Lapin | Pascal Thomas | |||
La moutarde me monte au nez | Claude Zidi | |||
La Gueule de l'emploi | Jacques Rouland | |||
Le Retour du grand blond | Yves Robert | |||
La Virée superbe | Gérard Vergez | |||
1975 | Les Grands Détectives | Jacques Nahum et Jean-Pierre Decourt | série TV | |
Dupont Lajoie | Yves Boisset | |||
* | La Course à l'échalote | Claude Zidi | ||
Catherine & Cie | Michel Boisrond | |||
Hugues le loup | Michel Subiela | téléfilm | ||
* | Michel Strogoff | Jean-Pierre Decourt | série TV | |
Le Téléphone rose | Édouard Molinaro | |||
1976 | Les ufs brouillés | Joël Santoni | ||
La Surprise du chef | Pascal Thomas | |||
Un éléphant ça trompe énormément | Yves Robert | |||
Dracula père & fils | Édouard Molinaro | |||
Le Jouet | Francis Veber | |||
À chacun son enfer | André Cayatte | |||
* | L'Aile ou la cuisse | Claude Zidi | ||
Richelieu | Jean-Pierre Decourt | série TV | ||
Le Collectionneur de cerveaux | Michel Subiela | téléfilm | ||
L'Assassinat de Concino Concini | Gérard Vergez | téléfilm | ||
1977 | La Mer promise | Jacques Ertaud | téléfilm | |
Où vont les poissons rouges ? | André Michel | téléfilm | ||
Le Chien de Monsieur Michel | Jean-Jacques Beineix | court-métrage | ||
Les Confessions d'un enfant de chur | Jean L'Hôte | téléfilm | ||
Nous irons tous au paradis | Yves Robert | |||
Enquête posthume sur un vaisseau fantôme | Michel Subiela | téléfilm | ||
Le Loup blanc | Jean-Pierre Decourt | téléfilm en trois parties | ||
L'Affaire des poisons | Gérard Vergez | téléfilm | ||
Vaincre à Olympie | Michel Subiela | téléfilm | ||
Un oursin dans la poche | Pascal Thomas | |||
L'Animal | Claude Zidi | |||
L'Enlèvement du régent | Gérard Vergez | série TV | ||
Neither By Day Nor By Night | Stern Steven | |||
1978 | * | La Zizanie | Claude Zidi | |
Médecins de nuit | Stéphane Bertin et Gérard Clément | série TV | ||
La Raison d'état | André Cayatte | |||
La Belle Vie | Lazare Iglesis | téléfilm | ||
L'Équipage | André Michel | téléfilm | ||
Le Connétable de Bourbon | Jean-Pierre Decourt | série TV | ||
Confidences pour confidences | Pascal Thomas | |||
Les Jeunes Filles | Lazare Iglesis | téléfilm en deux parties | ||
Je suis timide mais je me soigne | Pierre Richard | |||
Madame le juge | Édouard Molinaro, Nadine Trintignant, Claude Barma, Philippe Condroyer | série TV | ||
1979 | Cause toujours tu m'intéresses | Édouard Molinaro | ||
* | Les Aventures de David Balfour | Jean-Pierre Decourt | série TV | |
La Dérobade | Daniel Duval | |||
La Stratégie du serpent | Yves Boisset | téléfilm (série Histoires insolites) | ||
Ils sont grands ces petits | Joël Santoni | |||
* | C'est pas moi c'est lui | Pierre Richard | ||
Courage fuyons | Yves Robert | |||
La Servante | Lazare Iglesis | téléfilm | ||
La Femme enfant | Raphaële Billetdoux | |||
La Fabrique | Pascal Thomas | court-métrage | ||
Le Coup du parapluie | Pierre Richard | |||
1980 | Sam et Sally | Joël Santoni | série TV | |
Les Maîtres sonneurs | Lazare Iglesis | téléfilm | ||
* | Le Bar du téléphone | Claude Barrois | ||
* | Diva | Jean-Jacques Beineix | ||
Duo sur canapé | Marc Camoletti | |||
Celles qu'on n'a pas eues | Pascal Thomas | |||
L'Antichambre | Michel Bienvenu | court-métrage | ||
La Boum | Claude Pinoteau | |||
* | Les Mystères de Paris | André Michel | série TV | |
Inspecteur la Bavure | Claude Zidi | |||
La Double Vie de Théophraste Longuet | Yannick Andreï | téléfilm | ||
Petit déjeuner compris | Michel Berny | série TV | ||
Lat de Dokter maar schuiven | Nicolas Van De Heyden | |||
1981 | L'Année prochaine si tout va bien | Jean-Loup Hubert | ||
Le Temps des as | Jean-Pierre Decourt | série TV (deuxième saison) | ||
* | Les Sous-doués en vacances | Claude Zidi | ||
Les Roses de Dublin | Lazare Iglesis | série TV | ||
Une affaire d'hommes | Nicolas Ribowski | |||
La Chèvre | Francis Veber | |||
Pourquoi pas nous ? | Michel Berny | |||
1982 | Le Père Noël est une ordure | Jean-Marie Poiré | ||
Jamais avant le mariage | Daniel Ceccaldi | |||
* | L'As des As | Gérard Oury | ||
La Boum 2 | Claude Pinoteau | |||
1983 | * | Le Prix du danger | Yves Boisset | |
Tout le monde peut se tromper | Jean Couturier | |||
Banzaï | Claude Zidi | |||
* | Les Compères | Francis Veber | ||
Le Bal | Ettore Scola | |||
Le Tiroir secret | Michel Boisrond et Roger Gillioz | série TV | ||
La Chambre des dames | Yannick Andreï | série TV | ||
1984 | L'Étincelle | Michel Lang | ||
* | P'tit con | Gérard Lauzier | ||
Retenez-moi ou je fais un malheur ! | Michel Gérard | |||
Le Jumeau | Yves Robert | |||
La Tête dans le sac | Gérard Lauzier | |||
* | La Septième Cible | Claude Pinoteau | ||
L'Amour en héritage | Kevin Connor et Douglas Hickox | série TV | ||
1985 | * | Châteauvallon | Serge Friedman et Paul Planchon | série TV |
Les Mondes Engloutis | Michel Gauthier | série TV | ||
* | Les Rois du gag | Claude Zidi | ||
Drôle de samedi | Bay Okan | |||
* | Astérix et la surprise de César | Paul et Gaëtan Brizzi | ||
1986 | La Galette du roi | Jean-Michel Ribes | ||
* | Mort un dimanche de pluie | Joël Santoni | ||
Les Fugitifs | Francis Veber | |||
Astérix chez les Bretons | Pino Van Lamsweerde | |||
1987 | Lévy et Goliath | Gérard Oury | ||
Le Moustachu | Dominique Chaussois | |||
Curs croisés | Stéphanie de Mareuil | |||
La Petite Allumeuse | Danièle Dubroux | |||
Rahan, fils des âges farouches | série TV | |||
Promis juré | Jacques Monnet | |||
1988 | Corps z'à corps | André Halimi | ||
* | L'Étudiante | Claude Pinoteau | ||
1989 | * | La Vouivre | Georges Wilson | |
Le Retour d'Arsène Lupin | série TV | |||
Les Maris, les Femmes, les Amants | Pascal Thomas | |||
Les Grandes Familles | Édouard Molinaro | série TV | ||
Till We Meet Again | Charles Jarrott | série TV | ||
Le Souffle | Niklaus Schilling | téléfilm | ||
1990 | Il gèle en enfer | Jean-Pierre Mocky | ||
La Gloire de mon père | Yves Robert | |||
Le Château de ma mère | Yves Robert | |||
La Pagaille | Pascal Thomas | |||
1991 | La Neige et le Feu | Claude Pinoteau | ||
La Pagaille | Pascal Thomas | |||
La Totale | Claude Zidi | |||
La Montre, la Croix et la Manière | Ben Lewin | |||
1992 | La Bal des casse-pieds | Yves Robert | ||
Ville à vendre | Jean-Pierre Mocky | |||
* | Les Curs brûlés | Jean Sagols | série TV | |
Le Souper | Édouard Molinaro | |||
1993 | Cuisine et dépendances | Philippe Muyl | ||
Coup de jeune | Xavier Gélin | |||
Le Mari de Léon | Jean-Pierre Mocky | |||
La Soif de l'or | Gérard Oury | |||
1994 | L'Affaire | Sergio Gobbi | ||
Montparnasse-Pondichéry | Yves Robert | |||
* | Cache cash | Claude Pinoteau | ||
Bonsoir | Jean-Pierre Mocky | |||
Les Yeux d'Hélène | Jean Sagols | série TV | ||
Les nouveaux exploits d'Arsène Lupin | série TV | |||
1995 | Les Sables mouvants | Paul Carpita | ||
1996 | Le Jaguar | Francis Veber | ||
Le Plus Beau Métier du monde | Gérard Lauzier | |||
Maître Da Costa | Jean-Louis Bertucelli et Gabriele Heberling | série TV | ||
1997 | Les Palmes de M. Schultz | Claude Pinoteau | ||
Soleil | Roger Hanin | |||
1998 | Le Dîner de cons | Francis Veber | ||
1999 | Le Schpountz | Gérard Oury | ||
Le Fils du français | Gérard Lauzier | |||
La Nuit des Guignols : la fiction | Bruno Le Jean | téléfilm | ||
2000 | La Vache et le président | Philippe Muyl | ||
Marius | Nicolas Ribowski | téléfilm | ||
Fanny | Nicolas Ribowski | téléfilm | ||
César | Nicolas Ribowski | téléfilm | ||
2001 | Le Placard | Francis Veber |
Sources :
Alain Lacombe et François Porcile, Les Musiques du cinéma français, Bordas, 1995.
Jean-François Houben, 1 000 compositeurs de cinéma, Cerf-Corlet, 2002.
Dictionnaire des films, Larousse, 1995.
Dictionnaire du cinéma, Larousse-Bordas/HER, 2000.
www.imdb.com